lundi 7 juillet 2014

"CROWDFOODING" : NOUVELLES FORMES DE PARTAGE

Le food est partout et devient le moteur pour de nouvelles formes de relations. Décryptage par Arthur Sotto & Zoé Gautier, planneurs stratégiques chez Valtech.

Se nourrir est passé d’un besoin primaire, purement physiologique, à des besoins sociologiques comme l’affirmation de soi, que l’on retrouve dans presque toutes les cultures. Des concepts comme Top Chef, l’Atelier des Chefs ou encore les box spécialisées (Foodiz, My Cookkit, Eat your box) mettent en avant l’aspect Do It Yourself inhérent à la food. Ils témoignent de l’appropriation par tous des codes et conseils des professionnels de la cuisine. Le digital vient renforcer cette glorification de l’amateur au travers de blogs avec un partage de recettes, d’expériences, d’astuces. Des sites spécialisés et des réseaux sociaux comme Yelp, La Fourchette, Foodreporter ou encore Foodspotting permettent également de partager de bonnes adresses et des bons plans. L’internaute devient donc tour à tour consommateur, critique voire, trendsetter. Par ailleurs, la logique des réseaux sociaux comme Instagram et Pinterest, a impulsé une dynamique d’échanges autour de la food, démocratisant notamment le food porn, cette mise en scène presque obscène de plats alléchants. L’individu s’improvise alors artiste en mettant en avant ses « créations » ou ses trouvailles. D’ailleurs, 181.5 millions d’hashtags sur Twitter et Instagram concernent la nourriture (source : foodpornindex.com, 26/02/14). Des marques comme Oreo ou Nespresso embrassent également cette tendance pour véhiculer du brand content et un certain lifestyle. Si le fait de photographier son assiette s’explique en partie par une volonté de personal branding, ce partage n’est pas uniquement motivé par un besoin d’affirmation du « moi » face aux autres. Au contraire, le digital amplifie les interactions et donc le caractère social de la food, ce qui se manifeste dans la vie réelle par plus de collaboration, la création de communautés et un enrichissement des liens.

"Le digital amplifie les interactions et donc le caractère social de la food"
La surveillance de l’alimentation et la provenance des produits sont des attentes fortes des consommateurs qui attestent de l’importance portée à la santé et au bien-être. En matière de food, la consommation collaborative, dont l’un des moteurs est le digital, apparaît comme une réponse pertinente à cette méfiance. C’est par exemple le crowdsourcing qui va dans le sens d’une plus grande transparence avec la mise en commun des informations et connaissances sur le web. Ainsi, des start-up comme ClearKarma, MesGouts, OpenFoodFacts mettent à disposition des informations sur les produits pour faciliter la compréhension des consommateurs. Les internautes peuvent participer en ajoutant eux-mêmes des données comme les ingrédients, la valeur nutritionnelle, la provenance, la qualité... Par ailleurs, le digital renforce le caractère social de la food dans le domaine de l’économie locale. Les récents scandales alimentaires ou encore l’intérêt croissant porté au développement durable ont soulevé l’idée d’une consommation plus responsable et éthique. Par exemple, le locavorisme prône la consommation de nourriture produite dans un rayon de 100 à 250km. En matière de digital, cette démarche se traduit par des initiatives comme Foodette, site où l’on peut commander les ingrédients frais et de qualité, nécessaires à la réalisation d’un menu et les retirer le lendemain dans un commerce de proximité. Des plateformes digitales comme Baladovore (prescription de producteurs locaux par des chefs cuisiniers) et Goodeggs (livraison à domicile de produits frais) s’inscrivent aussi dans cette quête de réintroduction de sens et d’authentique dans la consommation. Si le digital est un vecteur important d’échange(s) en ce qui concerne les questions de santé et d’éthique autour de la food, il permet également de créer du lien pour enrichir « l’expérience culinaire » à tous les niveaux et réintroduire la notion de plaisir.
Dans cette optique, le crowdfunding en matière de food est un phénomène qui prend de l’ampleur. De nombreux domaines (innovation technologique, mode, beauté…) utilisent déjà des plateformes digitales de financement pour mettre en relation les porteurs d’un projet et les personnes souhaitant investir. En terme de food, Foodstart est l’un des acteurs majeurs. Ce site collaboratif donne aux passionnés de cuisine l’opportunité de lancer leur business grâce à l’aide financière des internautes. En contrepartie, la plateforme offre aux contributeurs des réductions et autres avantages afin de valoriser leur engagement. Chacun y trouve donc son compte.

"Déclinaison culinaire du couchsurfing, [le foodsurfing] consiste à aller dîner chez l’habitant"
Le foodsurfing est une autre expression du renforcement du caractère social de la food par le digital. Déclinaison culinaire du couchsurfing, cette tendance consiste à aller diner chez l’habitant, gratuitement ou moyennant une certaine somme. Au cœur de ce concept : faire une découverte culturelle et culinaire mais également rencontrer son hôte. La notion de plaisir et de goût qui sont également des attentes fortes en matière de food sont alors réinvesties, au même titre que le contact humain. Par ailleurs, si le moment du repas est de moins en moins synonyme de partage (déjeuner pris sur le pouce, célibataires, personnes âgées), nombreux sont ceux qui cherchent à éviter la solitude grâce au digital. A ce titre, des plateformes sociales comme COlunching, GrubWithUs, EatWithMe permettent de rassembler des inconnus qui souhaitent développer leur réseau ou tout simplement, ne pas manger seuls.

Appliqué au domaine déjà très « sociable » de la food, le digital enrichit toujours plus les relations sociales entre les individus voire, en crée de nouvelles. Si la nourriture est un fort marqueur social et culturel, le digital donne lieu à de nouvelles formes de « rassemblement » online ou offline, autour de la food. Convivialité, solidarité, sécurité, visibilité, toutes les occasions sont bonnes pour se regrouper et fonder, de manière éphémère ou plus durable, des communautés.
Arthur Sotto & Zoé Gautier, planneurs stratégiques chez Valtech
Extrait du watf / What About The Flavour.

Source: http://goo.gl/eS8Ehr

Store gallery: The Netherlands’ DekaMarkt returns to its roots



Holland’s oldest grocery chain Dekamarkt has taken its new concept store to market. Retail Week takes a turn around the Haarlem store.


Each area has its own distinct character, but at the same time this is still an integrated whole with a recognisable handwriting.


DekaMarkt, the Netherlands’ oldest grocery chain, has opened a concept store in a former railway carriage factory in Beverwijk, on the outskirts of Haarlem. With a 50,000 sq ft footprint, the ‘World of Food’ is a large store, so to give the interior a more human scale, the decision was made to adopt a market-style approach.
Consultancy Twelve Studio created the blueprint for the store, the principal mid-floor feature of which is a series of pavilions spread across the floor. These are rounded in order to break down the straight edges of the box and are home to specialist areas including fresh counters, coffee roasting, restaurants, sushi, juices and a wine cellar.
Wooden market-style carts and crates are used as display vehicles, reinforcing the sense that this is more than a big box.
What is also interesting is that each area has its own distinct character, but at the same time this is still an integrated whole with a recognisable handwriting. In part, this is achieved by the use of large format bold graphics that act as navigation aids and design features with equal force.
For retailers operating units of this size, there is an ever-present danger of shopper boredom and the feeling that walking round a shop is something of a chore. DekaMarkt seems to have avoided this and has created an interior in which shoppers might just want to slow down and enjoy the way the products have been organised.
It is one of the ironies of retail that markets used to be places that were looked down on and that shoppers went to because things might be cheaper than in a supermarket. Today, however, grocers such as DekaMarkt are falling over themselves to offer interiors that go back to food retail’s roots.
Source: http://goo.gl/q7AA8i

Plus de photos: http://goo.gl/9guWbp

Les Filières Qualité Carrefour font leur retour

Carrefour cède aux pressions de l'INAO et abandonne sa MDD "Origine et Qualité". Le distributeur renoue avec les "Filières Qualité Carrefour", une signature qu'il avait utilisée jusqu'en 2007.
"Origine et Qualité" était le nouveau nom des produits Carrefour sur la zone marché, depuis début 2014.
La marque avait été lancée en grande pompe durant le salon de l'agriculture mais, déjà, des producteurs de fromages sous appellation d'origine protégée avaient investi le stand du distributeur.
Motif du mécontentement : en signant indifféremment "Origine et Qualité" des produits sous signe officiel de qualité et des filières maison sans label, Carrefour était accusé de jouer la confusion.
L'INAO (institut national de l'origine et de la qualité) a porté l'affaire devant la justice en mai dernier. Selon l'institut,"seuls des produits sous signes officiels de qualité et d’origine doivent pouvoir être identifiés par ces termes".
Carrefour n'aura donc pas mis longtemps à renoncer à son idée. Dans un communiqué commun daté du 7 juillet, le distributeur et l'INAO annoncent avoir trouvé un accord qui met fin à l'action judiciaire engagée.
"Carrefour a décidé de ne pas développer Origine et Qualité Carrefour et de poursuivre l’utilisation de sa marque Filière Qualité Carrefour", résume sobrement le document.
Les Filières Qualité Carrefour étaient le nom des MDD de l'enseigne sur la zone marché entre 1992 et 2007. La marque avait ensuite été remplacée par "Engagement Qualité Carrefour", officiellement parce que la notion de filière était mal comprise par les consommateurs. A l'époque déjà, certains producteurs contestaient les amalgames possibles avec les filières sous signe officiel de qualité.
Carrefour reprend aujourd'hui l'exploitation d'une marque qui avait fortement marqué son identité sur la zone marché durant quinze ans, et dont le nom ne surprendra pas les clients fidèles de l'enseigne.
Source: http://goo.gl/Pp10fC

Carrefour quitte l'Inde, en fermant ses cinq magasins de ventes en gros

Le groupe français de grande distribution Carrefour va quitter le marché indien, en fermant d'ici fin septembre les cinq magasins de ventes en gros ("cash & carry") qu'il y possède, selon un communiqué publié lundi.
Son PDG, Georges Plassat, avait par le passé indiqué réfléchir quant au maintien de sa présence dans ce pays.
Carrefour s'était implanté en Inde en 2010. En 2012, ses cinq magasins avaient généré un chiffre d'affaires de 28 millions d'euros.
Aucun raison n'a été avancé concernant les raisons de ce départ.
La presse indienne, s'appuyant sur des sources internes au groupe, avait affirmé début mai que Carrefour travaillait sur une stratégie pour se désengager du pays. Elle l'expliquait alors par la victoire annoncée, concrétisée depuis, du parti nationaliste hindou BJP, hostile à l'arriver de distributeurs étrangers en Inde.
Source: http://goo.gl/u4Yc0p

jeudi 3 juillet 2014

Top 25 Global Food Retailers 2013

SN's Top 25 worldwide food retailers for 2013 include annual sales for food, nonfood and wholesale operations; sales were based on current exchange rates. Store counts include franchised or licensed locations and may include nonfood outlets. Source: Planet Retail (www.planetretail.net)


mardi 1 juillet 2014

Comment: Touch, smell, taste, sound and vision as customer experiences

Let’s get one thing straight: e-commerce will not kill the physical retail store. Despite the digital world disrupting our shopping habits, stores are here to stay due to five simple reasons. Shopping is about experiences – using our five senses – which can only happen in a store.
However, in order to survive, traditional brick-and-mortar retailers have to do more than simply putting up a web store and having a Twitter handle. Consumers now expect flexible, interactive and information-rich services, not just online, but in-store as well. According to some estimates, smartphone usage in the shopping experience could impact up to $752 billion in sales by 2016. This is a huge opportunity for retailers. British department store John Lewis, for example, reported that customers who visit both their stores and website spend four times as much as those only coming to one or the other.
The solution, though, is not divergence from the real world to online, but integration of both – by 2016, online sales will still only account for just 7-9% of retail sales.
My advice to retailers is to improve the shopping experience, engage with customers, and streamline in-store operations.
For example, we all know the oldest tool stores have to entice their customers – the poster – is dead. It takes weeks to replace, it’s static, and certainly not fit to engage today’s millennial customers. The digital poster is far more in vogue today - they are updated within minutes, are reliable and cost-effective to run, and, most importantly, they really change how a shop interacts with its customers.
Be creative. Why not transport your customers to their holiday destination with huge life like images on the screen? Excite them with real-time weather reports from nearby ski resorts or the beach. Or be like Kenzo, who used bespoke video walls and devices to convey the same high-spirited, youthful brand image into the store – taking the energy of the online experience into the static retail environment to create an immersive customer experience.
It’s not just about giving customers the wow factor, it’s about an experience that will turn them into loyal shoppers.
Digital is also about empowering your sales force – giving staff on-the-spot access to every kind of information a shopper might want, and improving efficiency by giving them a real-time view of the stock room.
Digital allows retailers to engage shoppers and increase thelifetime share of wallet from their target customers. At the same time, they will be able to adapt in real time to today’s fast-changing retail environment.
This is only the beginning though, as the future of retail will continue to be defined by the customers themselves. The businesses that succeed in this evolving environment will be the ones that bring together the right devices, solutions and services to provide experiences far beyond consumers’ wildest dreams.
Seoggi Kim is Senior Vice President and team leader of the Enterprise Business Team, Samsung Electronics
Source: http://goo.gl/jqOPbr

Aldi and Lidl sales to double in five years as hypermarkets lose appeal, says IGD

Sales from Aldi and Lidl are forecast to double over the next five years as hypermarket sales are poised to fall, according to the IGD.
Data from the grocery experts showed that hypermarket sales will drop 4% to £70.8bn despite a predicted 16% rise in overall spend.
For the first time, sales from convenience, discounters and online will overtake hypermarkets and superstores by April 2019.
Aldi and Lidl are predicted to grow share to 10.5% in five years time, while online is set to grow 119% to account for 8.3% of the market. Convenience stores will surge by a third to make up 24.1% of the grocery market.
IGD chief executive Joanne Denney-Finch told The Telegraph: “People are now more willing to shop around at different types of grocery formats. They have more options available to them than ever before. Shoppers now expect grocery retailing to organise itself around their lives rather than building their routines around store opening hours.”
The growth of these channels is piling pressure on supermarket groups. Last week, Tesco chief executive Philip Clark said the grocer was undergoing “radical” changes as it aims to adapt to changing shopping behaviour.
Source: http://goo.gl/DjPwmy

Grocery delivery service Instacart launches with retailers in Atlanta

Grocery shopping service Instacart has launched with US retailers in Atlanta, allowing shoppers to get online groceries within an hour.

Costco and Kroger have both signed up to the service, which enables shoppers to order grocery items from multiple stores and then receive them within an hour.
The service costs $5.99 for any order over $35 and was originally launched in San Francisco, and has previous announced partnerships with retailers including Trader Joe’s and Wholefoods.
Those whose groceries are less urgent can pay $3.99 for two hour delivery of a $35 order. Shoppers can also schedule their deliveries for a particular hour later in the day for the same time.
For orders less than $35, one-hour delivery costs $9.99 and two-hour or scheduled delivery is $7.99.
Instacart is one of a number of online grocery services to have cropped up in the US, including the big names Amazon Fresh and Walmart To Go.
Source: http://goo.gl/BehM6k

Le sac plastique biodégradable se généralise en France

Le gouvernement français a annoncé la fin du sac plastique non réutilisable au 1er janvier 2016.

Supprimer le sac plastique du paysage en France, une utopie ?

Les chiffres parlent  d’eux-mêmes : chaque année :
Des chiffres toujours élevés, même si on note une tendance au mieux en France : là où chaque seconde 16.000 sacs plastiques sont distribués dans le monde, ce nombre a diminué de moitié en France. Les supermarchés et autres grandes surfaces ont il faut dire progressivement retiré les sacs plastiques à usage unique en caisse.
Un nombre loin d’être satisfaisant pourtant… Il en reste 700 millions sur les 10 milliards présent auparavant. Un sac plastique sur cent est toujours responsable de la mort d’animaux marins, notamment les tortues et autres mammifères qui pensent manger une méduse ou un calmar…

Un problème de recyclage

Le nombre de sacs plastiques non recyclables a baissé de 80% entre 2002 et 2007 mais 2 milliards de sacs sont encore utilisés chaque année en France. Le recyclage du plastique reste certes problématique en France, mais s’ajoute à cela des contraintes techniques compliquée.
Ces sacs plastiques sont généralement fabriqués en polyéthylène peu épais, ce qui rend leur recyclage quasiment impossible.
Le Ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie a donc annoncé fin juin 2014 que les les sacs plastiques non réutilisables seraient interdits dès le 1er janvier 2016.

sacs-plastiques-oceans-france-01Quelle solution pour l’avenir ?

La solution couramment adoptée consiste à fabriquer des sacs plastiques contenant 40% de matière végétale. Entre par là de l’amidon de maïs ou de pomme de terre principalement. Cet ajout permet de rendre les sacs biodégradables et compostables.
Évidemment, cela coûte plus cher à l’heure actuelle mais le gouvernement compte aussi sur cette généralisation du processus et donc la création d’emplois en France pour produire ces fameux sacs.
fleche-sous les eauxDès le 1er janvier 2016 vous ne verrez donc plus que des sacs plastiques réutilisables (biosourcés ou compostables, plus épais) ou des sacs en papier, qu’ils soient payants ou gratuits.
Alors que 12 milliards de sachets plastiques sont importés en Europe depuis l’Asie, c’est peut-être enfin l’occasion de valoriser les entreprises innovantes françaises qui fabriquent des sacs plus respectueux de l’environnement.
Source: http://goo.gl/iN4USM

L’omégachoco, chocolat magique anti-Alzheimer ?

Présenté comme un aliment aidant à prévenir la malade d’Alzheimer, l’Omégachoco est bel et bien du chocolat. Retour sur un aliment peut-être pas miraculeux mais intéressant d’un point de vue nutritif.

L’Omégachoco, un chocolat enrichi à l’oméga 3

L’idée est née durant un concours sur le thème « chocolat, goût et santé » au Salon International de l’Innovation, à Genève en 2008, où l’aliment a d’ailleurs reçu le premier prix.
Maître-artisan de Châtellerault, dans la Vienne, Jean-Claude Berton a mis au point le chocolat après neuf mois de recherche. Il a travaillé en collaboration avec un médecin homéopathe, Jean-François Villette, et des médecins nutritionnistes.

omegachoco-chocolat-omega-3-alzheimer-02Plus qu’une source de plaisir

L’omégachoco contient 70% de cacao et suit les règles de l’agriculture biologique. Il est enrichi en oméga 3 via 15% de graines de lin, lesquelles en sont très riches.
Le cacao bio provient du Brésil, les graines de lin bio du Canada. Les graines et fèves sont ensuite été concassées. Il a également fallu trouver un équilibre entre le goût sucré et l’efficacité des graines de lin.
Au final, dans une plaque de 100g, on trouve 2 grammes d’oméga 3, soit l’apport journalier recommandé, pour moins de glucides qu’un chocolat normal.

omegachoco-chocolat-omega-3-alzheimer-01Un alicament, vraiment ?

« L’Omégachoco entre dans la catégorie des alicaments« , a ainsi déclaré le médecin nutritionniste Jean-Paul Tournon, qui a participé à sa mise au point, « c’est-à-dire qu’il peut améliorer la santé » en améliorant « le fonctionnement cardio-vasculaire » et utilisé enprévention contre la maladie d’Alzheimer, les acides gras oméga-3 réduisant la production de certaines substances comme les prostaglandines qui participent au vieillissement des neurones.
Sa teneur en fibres en fait en tout cas un aliment pas inintéressant. Reste qu’il s’agit bien d’un aliment plaisir et pas un médicament. A utiliser dans ce cadre à la place d’une autre sucrerie.
Jean-Claude Berton travaille depuis sur des chocolats au lait et blanc mais cela se complique du fait de la grande différence au niveau des acides gras.
Source: http://goo.gl/cOEEt0