L’entrepôt Metro de Six-Fours-les-Plages fournit, dès 5 h 30 six jours sur sept, quelque 3 600 professionnels de la restauration et de l’alimentation de l’ouest-Var
L’imposante enseigne jaune et bleu trône au cœur de la zone des Playes, à Six-Fours-les-Plages, depuis vingt-deux ans. Sur 1 .500 mètres carrés de surface de vente, on y trouve pas moins de 12 .000 références de produits alimentaires et 20.000 non alimentaires. Pourtant, l’immense majorité d’entre nous n’a jamais franchi les portes de ce magasin pas comme les autres, qui ouvre dès 5 h 30 et où l’on ne rencontre pas de familles venues remplir le chariot de la semaine.
L’accès à Metro est en effet exclusivement réservé aux professionnels inscrits au registre du commerce. À l’occasion du réaménagement de l’entrepôt ouest-varois, Philippe Ernoul, directeur général Paca, nous en a exceptionnellement ouvert les portes.
À l’issue de huit mois de travaux, c’est dans un espace totalement repensé, lumineux et accueillant que pénètrent les quelque 3 600 clients alimentaires venus de tout l’ouest-Var, de l’aire toulonnaise à Saint-Cyr* : métiers de bouche essentiellement, mais aussi revendeurs, tels que bouchers, boulangers, poissonniers, traiteurs, épiciers… « Environ 65 % de notre activité repose sur la restauration traditionnelle, c’est le cœur de notre métier », précise le directeur.
À l’entrée, c’est d’ailleurs un cuisinier qui propose à chacun de découvrir de nouveaux produits ou recettes. Ce matin-là, il insiste pour faire déguster des noix de saint-jacques au jus. Au comptoir, les discussions s’engagent autour d’un café ou d’un jus d’orange. On est entre « pros ».
Qualité et traçabilité
C’est pourquoi, au-delà du service, « qualité et traçabilité sont primordiales, insiste Philippe Ernoul. Nous sommes capables de suivre un produit de sa production jusqu’à l’assiette. Et s’il y avait le moindre souci, nous pourrions appeler directement le client, car nous savons précisément qui a acheté quoi. »
Pour les fruits et légumes, Metro dispose de sa propre plate-forme, à Sorgues (Vaucluse). Les autres produits frais arrivent de Rungis, « chaque matin, dès 4 heures ». L’étiquetage, « primordial » aussi, se révèle ensuite très précis. « Nous sommes très pointilleux à ce sujet », assure le directeur régional. Ce matin-là, les premières fraises de la saison proviennent de Carpentras, les premières asperges de Pertuis. «Nous privilégions toujours les produits français, régionaux et locaux quand c’est possible. » Au rayon boucherie, on trouve ainsi de l’agneau de Sisteron ou du porc fermier du Ventoux.
Du snack au restaurant gastronomique
Après les fruits et légumes, le rayon marée, « deuxième point fort » de l’enseigne, a de quoi faire pâlir plus d’un poissonnier. « Selon les arrivages, on peut proposer jusqu’à 130 références », précise Philippe Ernoul. Un illustre restaurateur étoilé y a d’ailleurs ses habitudes. Au côté des viviers où évoluent de splendides homards de Bretagne, des impressionnants bancs de poissons frais, des produits surgelés aussi, bien sûr. « Il faut satisfaire toutes les clientèles, du snack au restaurant gastronomique. »
La même diversité se retrouve au rayon cave, totalement rénové, qui accueille désormais une multitude de spiritueux. « Notre objectif est de proposer, dans chaque catégorie de produits, un maximum de références », explique Philippe Ernoul. La preuve par l’exemple ? « Plus de 120 rhums ! » Qui dit mieux ?
*Dans le département, un deuxième entrepôt situé à Fréjus fournit les professionnels de l’est-Var.
L’accès à Metro est en effet exclusivement réservé aux professionnels inscrits au registre du commerce. À l’occasion du réaménagement de l’entrepôt ouest-varois, Philippe Ernoul, directeur général Paca, nous en a exceptionnellement ouvert les portes.
À l’issue de huit mois de travaux, c’est dans un espace totalement repensé, lumineux et accueillant que pénètrent les quelque 3 600 clients alimentaires venus de tout l’ouest-Var, de l’aire toulonnaise à Saint-Cyr* : métiers de bouche essentiellement, mais aussi revendeurs, tels que bouchers, boulangers, poissonniers, traiteurs, épiciers… « Environ 65 % de notre activité repose sur la restauration traditionnelle, c’est le cœur de notre métier », précise le directeur.
À l’entrée, c’est d’ailleurs un cuisinier qui propose à chacun de découvrir de nouveaux produits ou recettes. Ce matin-là, il insiste pour faire déguster des noix de saint-jacques au jus. Au comptoir, les discussions s’engagent autour d’un café ou d’un jus d’orange. On est entre « pros ».
Qualité et traçabilité
C’est pourquoi, au-delà du service, « qualité et traçabilité sont primordiales, insiste Philippe Ernoul. Nous sommes capables de suivre un produit de sa production jusqu’à l’assiette. Et s’il y avait le moindre souci, nous pourrions appeler directement le client, car nous savons précisément qui a acheté quoi. »
Pour les fruits et légumes, Metro dispose de sa propre plate-forme, à Sorgues (Vaucluse). Les autres produits frais arrivent de Rungis, « chaque matin, dès 4 heures ». L’étiquetage, « primordial » aussi, se révèle ensuite très précis. « Nous sommes très pointilleux à ce sujet », assure le directeur régional. Ce matin-là, les premières fraises de la saison proviennent de Carpentras, les premières asperges de Pertuis. «Nous privilégions toujours les produits français, régionaux et locaux quand c’est possible. » Au rayon boucherie, on trouve ainsi de l’agneau de Sisteron ou du porc fermier du Ventoux.
Du snack au restaurant gastronomique
Après les fruits et légumes, le rayon marée, « deuxième point fort » de l’enseigne, a de quoi faire pâlir plus d’un poissonnier. « Selon les arrivages, on peut proposer jusqu’à 130 références », précise Philippe Ernoul. Un illustre restaurateur étoilé y a d’ailleurs ses habitudes. Au côté des viviers où évoluent de splendides homards de Bretagne, des impressionnants bancs de poissons frais, des produits surgelés aussi, bien sûr. « Il faut satisfaire toutes les clientèles, du snack au restaurant gastronomique. »
La même diversité se retrouve au rayon cave, totalement rénové, qui accueille désormais une multitude de spiritueux. « Notre objectif est de proposer, dans chaque catégorie de produits, un maximum de références », explique Philippe Ernoul. La preuve par l’exemple ? « Plus de 120 rhums ! » Qui dit mieux ?
*Dans le département, un deuxième entrepôt situé à Fréjus fournit les professionnels de l’est-Var.
Source: Nice-Matin (http://goo.gl/UCBxK)
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