vendredi 31 mai 2013

Restauration et Développement Durable (Etude de tendances)

Alors qu’une étude américaine récente menée auprès des professionnels de la restauration commerciale place l’approvisionnement local et le développement durable en tête des tendances de la restauration plébiscitées pour l’année à venir, UTOPIES publie ce jeudi 16 septembre, en partenariat avec Mescoursespourlaplanete.com, une étude de tendances sur le thème « Restauration commerciale et Développement Durable ».
Disponible en téléchargement sur ce site et www.mescoursespourlaplanete.com, ainsi que sur les sites des autres partenaires, cette étude de tendances répond à des objectifs multiples :
• D’abord, sensibiliser le secteur aux enjeux et opportunités liés au développement durable, dans un contexte où les Pouvoirs Publics se mobilisent sur le sujet (avec le futur Programme National de l’Alimentation), où les clients sont demandeurs d’engagements (45% des consommateurs français souhaitent désormais se voir proposer des repas bio au restaurant, et deux Américains sur cinq intègrent désormais des critères environnementaux au choix d’un restaurant), où les acteurs les plus importants sont de plus en plus questionnés sur leurs pratiques par les ONG ou les médias, et où enfin l’engagement visible de quelques chefs et restaurants différencie désormais leur discours et leur offre.
• Ensuite, inspirer les futures stratégies d’innovation des acteurs du secteur en leur proposant un panorama international des bonnes pratiques émergentes - qu’il s’agisse de restauration rapide ou gastronomique, de cafés-brasseries, d’enseignes de renom international ou de petits restaurants indépendants. Restaurant construit en matériaux recyclés ou « verts », recours aux énergies renouvelables, limitation des kilomètres alimentaires et préférence aux produits locaux, carte élaborée avec des ingrédients bio ou équitables, préférence aux produits frais sans additifs de synthèse, compostage ou recyclage des déchets organiques, menus voire même jours entièrement végétariens, affichage et minimisation de l’empreinte carbone, lutte contre le gaspillage alimentaire, livraison en véhicules électriques ou vélos, ateliers pédagogiques pour petits et grands gourmands, etc. : la liste est longue ce qu’il est possible de faire, la preuve – d’autres restaurants l’ont fait !
• Enfin, donner des pistes d’engagement simples et concrètes à chaque restaurateur, de la communication sur l’origine des produits à l’affichage de labels, en passant par l’engagement nutritionnel, la diversité des ingrédients et des saveurs, le respect des espèces de poisson menacées, la préférence aux produits locaux, les économies d’énergie ou d’eau, la construction et l’aménagement écologiques des restaurants ou la sensibilisation des clients. Un quiz final permet même d’auto-évaluer sa démarche et d’identifier les points de progrès les plus significatifs.
Télécharger l’étude de tendances - restauration et développement durable :
PDF - 5 Mo
http://www.utopies.com/IMG/pdf/EDT_Restauration_DD_Utopies2010.pdf

Quelle approche marketing utilisez-vous dans votre commerce?

Pour continuer dans les quatre disciplines clés du commerce de détail, j’aborde aujourd’hui la troisième discipline, l’approche marketing. L’approche marketing reflète votre modèle d’affaires et votre vision du commerce de détail. Et aujourd’hui, les consommateurs reconnaissent bien votre approche marketing.Comment? En observant quatre indicateurs très perceptibles : la logistique de votre magasin, la force de vente sur le plancher, l’allure de votre commerce et le marketing. Marketing comme dans besoins des consommateurs. Mes clients ont tendance à favoriser l’approche marketing axée sur la logistique ou sur la force de vente. Commençons par expliquer comment reconnait-on votre approche.

1- Approche logistique 

Cette approche valorise les opérations. Par opérations, je veux dire produits enstock suffisant ou livraison dans les plus brefs délais par exemple. J’aime cette approche, mais pas pour tous les commerces. Costco ou Réno-Dépôt sont des exemples de cette approche. Il s’agit d’une approche élémentaire dans le commerce de détail. Votre client achète chez vous parce que le produit s’y trouve et à prix concurrentiel. Et si vous êtes comme Costco, votre client achètera parce qu’il sait que votre inventaire tourne. Et si vous êtes comme Réno-Dépôt, votre client ira à votre magasin parce il sait qu’il trouvera. Comme dit le slogan : On l’a!

2- Approche force de vente 

Dans un commerce, on remarque rapidement l’approche marketing axée force de vente : plusieurs vendeurs au pied carré. Cette approche offre l’avantage de suggérer, d’inviter à essayer, d’entrer en relations avec le client et donc de faire une vente. La formation est cruciale. Vous exploitez une épicerie fine, vos vendeurs devront connaître les particularités de chaque produit. Pourquoi cette bouteille d’huile d’olive est 12 $ et celle-ci du même format 25 $? Si le vendeur ne sait pas, votre client risque de partir les mains vides. C’est une approche relationnelle, donc le vendeur doit savoir ou du moins pouvoir trouver une réponse! Alors, si une tablette est vide par exemple, c’est moins grave lorsque votre approche est axée force de ventes. Parce que votre vendeur bien informé pourra suggérer autre chose. En revanche, votre vendeur doit être en mode « plancher » et non en mode jasette avec des collègues.

3- Approche commerce 

L’approche marketing axée sur le commerce en soi est aussi très facile à repérer : ce sont de beaux magasins, de belles constructions ou des aménagements esthétiques. Aujourd’hui, le design est apprécié et prisé. C’est un différenciateur. Par exemple, le détaillant Simons que j’ai mentionné dans mon billet sur l’approvisionnement a compris le rôle clé du design pour attirer sa clientèle et la retenir. Ses magasins sont toujours de plus en plus beaux. Cette approche demande de bien connaître sa clientèle. Si votre magasin est trop beau pour la localisation, vos clients vous bouderont en raison du quartier ou de l’emplacement dans le centre commercial.

4- Approche marketing 

On confond souvent marketing et publicité. Cette approche repose sur lesbesoins et les attentes du consommateur ciblé. Le consommateur reconnaît cette approche parce qu’elle répond à ses besoins. Vous êtes dans le bas de gamme? Vous devez connaître ce que vos clients cibles recherchent comme qualité de produit et choix. Vous êtes dans le vêtement? Vous devrez savoir par exemple que votre cliente ne paiera pas plus de 60 $ pour une blouse. Ce sont ses attentes et vous devez les connaître. Sinon, vos ventes stagneront et votre commerce fermera peut-être.
QUEL EST VOTRE POSITIONNEMENT?
L'approche marketing
Vous vous reconnaissez dans une de ces quatre approches? C’est un indicateur de votre positionnement. L’approche logistique indique un positionnement entrepôt. Et si vous êtes à l’aise avec l’approche force de vente, vous démontrez un positionnement moins perceptible auprès des consommateurs. À moins de posséder une force de vente de haut niveau ou totalement différente de la concurrence. Si vous aimez le beau et le design, vous signalez aux consommateurs un positionnement haut ou moyen de gamme. Mais assurez-vous de bien connaître votre clientèle et vos opérations. Même si c’est beau, le client ne reviendra pas si vos prix ne sont pas concurrentiels ou le service absent. L’information circule à vitesse grand V. Par exemple, peu de temps après son ouverture au Carrefour Laval, le très beau magasin Williams-Sonoma a été forcé de réduire ses prix. Les consommateurs ont manifesté leur insatisfaction.
Enfin, si vous vous reconnaissez dans l’approche marketing, cela indique que vous adapterez votre positionnement. Votre quartier change de même que les consommateurs du quartier? Vous vous adapterez parce que vous voulez répondre à leurs besoins. Vous observerez, écouterez et sonderez. C’est l’approche gagnante selon moi.

Le premier restaurant français qui propose de commander sur une table tactile


Touch’In, situé en plein cœur de Paris, est le premier restaurant en France où la technologie s’invite à table.
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Ce restaurant au design épuré propose un bar à cocktails et un restaurant avec des tables tactiles pour passer commande.
Le restaurant parisien s’est inspiré d’ Inamo, un restaurant asiatique de Londres, le MOJO iCuisine Interactive Restaurant de Taïwan ou le iBurger de Montreal qui ont été parmi les pionniers à utiliser cette innovation.
Outre la possibilité de commander sans serveur, chaque restaurant propose soit une personnalisation du  décor de la table, des jeux pour patienter en attendant les plats ou le paiement de son addition.


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Touch In 20, rue vignon 75 009 Paris
Innovation :

Le M2M : utopie ou proche avenir de l'entreprise ?

Des DSI pensent qu'il faut déjà se préparer aux objets connectés, toute l'IT concernée

L’Internet des Objets – et son petit frère le M2M – ne sont plus de la pure science-fiction. Le réseau Internet ne relie plus simplement aujourd’hui des humains à des humains (le Web). Il sert aussi à connecter des machines à des serveurs. Et des machines à des machines.

Pour beaucoup d’analystes, le M2M (ou « Machine to machine », qui désigne la communications embarquées entre matériels) est et sera une source de transformations aussi importantes que les innovations technologiques nées avec le début d'Internet dans les années 90. Certains, chez Alcatel-Lucent, parlent même d'une « nouvelle révolution industrielle ».

Il faut dire que tous les facteurs semblent converger vers ce réseau d’utilisateurs et de choses que Marissa Mayer (alors chez Google et nouvelle Présidente de Yahoo!) décrit comme « un système nerveux de la planète en train de se constituer ».

Dans cette nouvelle évolution, les serveurs, le Cloud, le Big Data, le In-Memory, les SGBD, l’analytique en temps réel, la fibre, la baisse de l’alimentation électrique des appareils (ZigBee, etc.),toutes les avancées IT sont impliquées pour que les informations envoyés par les « choses » soient acheminées et traitées en temps réel.

Dans le M2M, la boucle est plus courte puisque l’information ne circule qu’entre deux objets (une voiture « dialogue » avec une autre) mais ce duo est souvent lui-même inclus dans l’Internet des Objets (une voiture peut être connectée pour donner des informations actualisées sur le trafic réel – et non pas estimées, tout en dialoguant avec son entourage proche pour adapter la sécurité du véhicule).


Intéressant, me direz-vous. Mais en quoi cela concerne-t-il des décideurs informatiques ?

Tout simplement parce que le M2M, comme Internet donc, risque de modifier les métiers et l’entreprise.

SAP, qui s’intéresse de très près au sujet comme d’autres géants de l’IT, va même jusqu’à affirmer que « les entreprises qui tarderont à déployer les technologies M2M doivent s’attendre à prendre du retard sur leurs concurrents ».

Ce point de vue ne sort pas de nulle part. Il s’appuie sur le fait que de nombreux DSI sont déjà sensibilisés à ces sujets.

Les résultats, dévoilés aujourd’hui, d’une étude Harris Interactive (pour SAP) montrent en effet que près de 30 % des décideurs IT estiment certes que les villes intelligentes constituent le résultat le plus bénéfique du déploiement des technologies M2M (notamment, des « villes hautement intelligentes » (sic) capables de collecter et d’analyser d’importants volumes de données issues d’équipements connectés et de l’activité des citoyens sur les réseaux sociaux, en temps réel).

Mais ces résultats montrent surtout qu'une une nette majorité de ces professionnels estime que le M2M fournira aux entreprises une visibilité métier approfondie, avec la capacité de répondre à des événements survenus dans le monde physique, ainsi qu'une plus grande efficacité, une plus grande productivité et une collaboration renforcée.

La possibilité d’augmenter la mobilité des effectifs est également identifiée comme l’une des grandes opportunités du M2M dans un environnement professionnel.


L’étude indique que la plupart des décideurs IT de six pays (Inde, Brésil, Royaume-Uni, États-Unis, Allemagne et Chine) appréhendent le M2M comme la suite naturelle de la « consumérisation de l’IT » et du BYOD.

« Le nombre d’objets connectés à Internet devrait atteindre 50 milliards à l’horizon 2021. Les consommateurs jouent un rôle central dans cette transformation, explique Sanjay Poonen, Président de la division Solutions technologiques et Mobilité de SAP. Aujourd’hui, les technologies de M2M sont principalement utilisées pour collecter d’importants volumes de données produites par des machines. "L’Internet des objets" franchit une étape supplémentaire avec l’intégration de données issues de machines, de PGI, de systèmes de GRC, de réseaux sociaux et plus encore, en temps réel, pour permettre aux êtres humains d’interagir intelligemment avec des équipements, et ceux-ci avec d’autres humains en une collaboration sociale ultime de l’homme et de la machine ».

Conséquence pour les entreprises, elles doivent mettent en place « une infrastructure technologique capable de gérer le Big Data, des fonctions analytiques et de mobilité dans le Cloud, en toute sécurité ».

À l’inverse, 70 % des décideurs IT des six pays étudiés estiment que ceux qui échoueront à déployer les technologies de M2M prendront du retard.

Si les bénéfices sont potentiellement nombreux (gestion automatique des stocks, mobilité accrue, réactivité optimale aux évènements extérieures, etc.), tous les professionnels de l’étude identifientun obstacle majeur : une pénurie des compétences.

Mais cet obstacle n’est pas le seul. Plusieurs barrières freinent encore le mouvement « dont l’absence d’offres complètes adaptées à plusieurs industries différentes, ou encore les problèmes d’administration, de sécurité, et de gestion du Big Data, ainsi que le manque de solutions de connectivité mondiales répondant aux besoins des entreprises multinationales », explique Sanjay Poonen.

Sans oublier, bien sûr, la question clé de la disponibilité d’infrastructures haut débit – 4G/LTE notamment.



Tous ces obstacles à l’arrivée massive du M2M dans l’entreprise ne seront pas surmontés d’un coup de baguette magique. Comme dit le diction, que soit Rome ou Paris, les cités ne se sont pas faites en un jour. Il n’y a donc pas de raison que les villes (hautement) intelligentes – et les entreprises qui s’y inscrivent – dérogent à la règle. Mais le mouvement semble bel et bien en marche. Reste à savoir la vitesse de celui-ci.

Juste une remarque, pour conclure. On regrettera que l’étude de Harris Interactive et de SAP ne demande pas les avis des décideurs français.

Ce que nous faisons donc ici pour corriger cet oubli regrettable.

Source : SAP (infographie des résultats de l’étude disponible depuis cette source)

Et vous ?

 Pour vous, le M2M et l’Internet des Objets sont-ils : de nouveaux « buzz words », de la science-fiction, un avenir très lointain ou l’avenir proche des villes et des entreprises ?

 Quelles sont les applications positives que vous imaginez pour ces deux technologies ? Et leurs effets pervers ?

 Quels freins identifiez-vous à l’avènement du « Machine to Machine » dans votre entreprise ?

L'écran de Hellmann's booste les ventes de sa mayo




C'est une campagne fructueuse et ancrée dans son temps qu'a récemment mené la marque de mayonnaise Hellmann's au sein du supermarché "Pao de Açucar" à Sao Paulo. Durant un mois, un écran tactile fut testé au sein du magasin. Celui-ci permettait aux clients de réaliser leurs achats en fonction de recettes. Résultat? Les ventes ont bondi de 70%! Une manière ludique de faire grimper la côte de popularité de la dite mayonnaise... Grâce aux puces NFC situées dans chaque allée du magasin, le produit que le client plaçait dans son chariot était automatiquement repéré. En poursuivant ses courses, le client se voyait alors proposer d'autres produits lui permettant de réaliser une recette. Outre le fait de proposer la recette tant en vidéo qu'en photo, l'écran permettait au client de repérer où se trouvaient les autres ingrédients. Evidemment la mayonnaise Hellmann's figurait dans chacune des recettes proposées. Quelque 45.000 clients ont pu tester la Hellmann's Recipe Cart.

Source: http://goo.gl/tSeQY

jeudi 30 mai 2013

Insects as Sustainable Food and Feed Source

Insects as food and feed are a particularly relevant issue in the 21st century due to the rising cost of animal protein, food and feed insecurity, environmental pressures, population growth and increasing demand for protein among the middle classes, according to a new report from FAO.
FAO has published a book entitled 'Edible insects: Future prospects for food and feed security' by Arnold van Huis, Joost Van Itterbeeck, Harmke Klunder, Esther Mertens, Afton Halloran, Giulia Muir and Paul Vantomme of Wageningen University of the Netherlands.
This book assesses the potential of insects as food and feed and gathers existing information and research on edible insects, according to its authors. The assessment is based on the most recent and complete data available from various sources and experts around the world.
Insects as food and feed emerge as an especially relevant issue in the 21st century due to the rising cost of animal protein, food and feed insecurity, environmental pressures, population growth and increasing demand for protein among the middle classes.
Thus, alternative solutions to conventional livestock and feed sources urgently need to be found. The consumption of insects, or entomophagy, therefore contributes positively to the environment and to health and livelihoods.
This publication grew from a small effort in 2003 in the FAO Forestry Department to document the role of insects in traditional livelihood practices in Central Africa and to assess the impact of harvesting insects in their natural habitats on the sustainability of forests. This effort has since unfolded into a broad-based effort to examine the multiple dimensions of insect gathering and rearing to clarify the potential that insects offer for improving food security worldwide. The purpose of this book is to bring together for the first time the many opportunities for, and constraints on, using insects as food and feed.

Role of Insects

It is estimated that insects form part of the traditional diets of at least two billion people. More than 1 900 species have reportedly been used as food. Insects deliver a host of ecological services that are fundamental to the survival of humankind. They also play an important role as pollinators in plant reproduction, in improving soil fertility through waste bioconversion, and in natural biocontrol for harmful pest species, and they provide a variety of valuable products for humans such as honey and silk and medical applications such as maggot therapy.
In addition, insects have assumed their place in human cultures as collection items and ornaments and in movies, visual arts and literature. Globally, the most commonly consumed insects are beetles (Coleoptera) (31 percent), caterpillars (Lepidoptera) (18 percent) and bees, wasps and ants  (Hymenoptera) (14 percent). Following these are grasshoppers, locusts and crickets (Orthoptera) (13 percent), cicadas, leafhoppers, planthoppers, scale insects and true bugs (Hemiptera) (10 percent), termites (Isoptera) (3 percent), dragonflies (Odonata) (3 percent), flies (Diptera) (2 percent) and other orders (5 percent).

Culture

Entomophagy is heavily influenced by cultural and religious practices, and insects are commonly consumed as a food source in many regions of the world. In most Western countries, however, people view entomophagy with disgust and associate eating insects with primitive behaviour. This attitude has resulted in the neglect of insects in agricultural research. Despite historical references to the use of insects for food, the topic of entomophagy has only very recently started to capture public attention worldwide.

Insects as Natural Resource

Edible insects inhabit a large variety of habitats, from aquatic ecosystems and farmed land to forests. Until recently, insects were a seemingly inexhaustible resource obtainable by harvesting from nature. However, some edible insect species are now in peril. A number of anthropogenic factors, such as overharvesting, pollution, wildfire and habitat degradation, have contributed to a decline in many edible insect populations. Climate change will likely affect the distribution and availability of edible insects in ways that are still relatively unknown. This publication includes case studies from several regions on the conservation strategies and semi-cultivation practices of rural people to protect insect species and their host plants. Such efforts contribute to improved habitat conservation.

Environmental Opportunities

The environmental benefits of rearing insects for food and feed are founded on the high feed  conversion efficiency of insects. Crickets, for example, require only 2kg of feed for every 1kg of bodyweight gain. In addition, insects can be reared on organic side-streams (including human and animal waste) and can help reduce environmental contamination. Insects are reported to emit fewer greenhouse gases and less ammonia than cattle or pigs, and they require significantly less land and water than cattle rearing.
Compared with mammals and birds, insects may also pose less risk of transmitting zoonotic infections to humans, livestock and wildlife, although this topic requires further research.

Nutrition for Human Consumption

Insects are a highly nutritious and healthy food source with high fat, protein, vitamin, fibre and mineral content. The nutritional value of edible insects is highly variable because of the wide range of edible insect species. Even within the same group of species, nutritional value may differ  depending on the metamorphic stage of the insect, the habitat in which it lives, and its diet. For example, the composition of unsaturated omega-3 and six fatty acids in mealworms is comparable with that in fish (and higher than in cattle and pigs), and the protein, vitamin and mineral content of mealworms is similar to that in fish and meat.

Farming Systems

Most edible insects are harvested in the wild. However, some insect species, such as bees and silkworms, have a long history of domestication because of the value of their products. Insects are also reared in large numbers for the purposes of biological control (e.g. as predators and parasitoids), health (e.g. maggot therapy) and pollination. The concept of farming insects for food is, however, relatively new; an example of rearing insects for human consumption in the tropics is cricket farming in the Lao People’s Democratic Republic, Thailand and Viet Nam.
In temperate zones, insect farming is performed largely by family-run enterprises that rear insects such as mealworms, crickets and grasshoppers in large quantities, mainly as pets or for zoos. Some of these firms have only recently been able to commercialise insects as food and feed, and the part of their production intended for direct human consumption is still minimal.
A few industrial-scale enterprises are in various stages of start-up for rearing mass quantities of insects such as black soldier flies. They are mainly for consumption as whole insects or to be processed into meal for feed. Critical elements for successful rearing include research on biology, rearing condition control and diet formulas for the farmed insect species. Current production systems are expensive, with many patents pending. A major challenge of such industrial-scale rearing is the development of automation processes to make plants economically competitive with the production of meat (or meat-substitutes like soy) from traditional livestock or farming sources.

Insects as Animal Feed

Recent high demand and consequent high prices for fishmeal/soybeans, together with increasing aquacultural production, is pushing new research into the development of insect protein for aquaculture and poultry. Insect-based feed products could have a similar market to fishmeal and soy, which are presently the major components used in feed formulations for aquaculture and livestock. Available evidence suggests that insect-based feeds are comparable with fishmeal and soy-based feed formulae. Live and dead insects already have established niche markets, mainly as feed given to pets and at zoos.

Processing

Insects are often consumed whole but can also be processed into granular or paste forms. Extracting proteins, fats, chitin, minerals and vitamins is also possible. At present, such extraction processes are too costly and will need to be further developed to render them profitable and applicable for industrial use in the food and feed sectors.

Food Safety and Preservation

The processing and storage of insects and their products should follow the same health and sanitation regulations as for any other traditional food or feed items in order to ensure food safety. Because of their biological makeup, several issues should be considered, such as microbial safety, toxicity, palatability and the presence of inorganic compounds.
Specific health implications should also be considered when insects for feed are reared on waste products such as manure or slaughterhouse waste. Evidence of allergies induced through the ingestion of insects is scarce, but does exist. Some cases have been reported of allergic reactions to arthropods.

Livelihood Improvement

Insect gathering and rearing as mini-livestock at the household level or industrial scale can offer important livelihood opportunities for people in both developing and developed countries. In developing countries, some of the poorest members of society, such as women and landless dwellers in urban and rural areas, can easily become involved in the gathering, cultivation, processing and sale of insects. These activities can directly improve their own diets and provide cash income through the selling of excess production as street foods. Insects can be directly and easily collected from nature or farmed with minimal technical or capital expenditure (i.e. for basic harvesting/rearing equipment). Rearing insects may also require minimal land or market introduction efforts, as insects already form part of some local food cultures.
Protein and other nutritional deficiencies are typically more widespread in disadvantaged segments of society and during times of social conflict and natural disaster. Because of their nutritional composition, accessibility, simple rearing techniques and quick growth rates, insects can offer a cheap and efficient opportunity to counter nutritional insecurity by providing emergency food and by improving livelihoods and the quality of traditional diets among vulnerable people.

Economic Development

Gathering and farming insects can offer employment and cash income, either at the household level or in larger, industrial-scale operations. In developing countries in Southern and Central Africa and Southeast Asia, where demand for edible insects exists and where it is relatively easy to bring insects to market, the process of insect gathering, rearing and processing into street foods or for sale as chicken and fish feed is easily within reach of small-scale enterprises. With only a few exceptions, international trade in insects for food is insignificant. The trade that does exist to developed countries is often driven by demand from immigrant communities or because of the  development of niche markets that sell exotic foods. Border trade in edible insects is significant, mainly in Southeast Asia and Central Africa.

Communication

The polarity of views surrounding the practice of entomophagy necessarily requires tailor-made communication approaches for each of the various stakeholders. In the tropics, where entomophagy is well established, media communication strategies should promote edible insects as valuable sources of nutrition to counter the growing westernization of diets. Western societies require tailored media communication strategies and educational programmes that address the disgust factor. Influencing the public at large as well as policymakers and investors in the food and feed sectors by providing validated information on the potential of insects as food and feed sources can help to push insects higher on political, investment and research agendas worldwide.

Legislation

Regulatory frameworks governing food and feed chains have expanded tremendously in the last 20 years; however, regulations governing insects as food and feed sources are still largely absent. For developed countries, the absence of clear legislation and norms guiding the use of insects as food and feed is among the major limiting factors hindering the industrial development of farming insects to supply the food and feed sectors. In developing countries, the use of insects for human or animal food is, in practice, more tolerated then regulated. The feed sector seems to take the lead in pushing for the development of more insect-encompassing norms, while the 'novel food' concept seems to be emerging as a leading instrument for setting rules and standards for the use of insects in human foods.

Way Forward

Any effort to release the huge potential that insects offer for enhancing food security requires that the following four key bottlenecks and challenges are addressed simultaneously.
First, further documentation is needed on the nutritional values of insects in order to more efficiently promote insects as healthy food.
Second, the environmental impacts of harvesting and farming insects must be investigated to enable comparison with traditional farming and livestock rearing practices that may be more environmentally damaging.
Third, clarification and augmentation of the socio-economic benefits that insect gathering and farming can offer is needed, in particular to enhance the food security of the poorest of society. Finally, a clear and comprehensive legal framework at (inter)national levels is needed to pave the way for more investment, leading to the full development - from the household to the industrial scale - of production and international trade in insect products as food and feed sources.

Further Reading

You can view the full report from FAO by clicking here [5.7Mb].
ThePigSite News Desk

10 Ways That Restaurants Are (And Should Be) Using Social Media

If you’re in the restaurant business, what are some proactive ways that you can and should be using social media to raise awareness of your business, drive customer footfall and increase covers?
Well, how about using Facebook and Twitter to promote and show off new menu items? You can empower your employees (whom you can also source through social channels) to act as brand ambassadors to help spread the word, and use Instagram and Pinterest to share mouth-watering photographs of your head chef’s latest creations.
Social media works two ways, of course, and you should also be using these tools to monitor your restaurant’s reputation, provide resolutions to diner complaints and encourage new business with social promotions and discounts.
The infographic below reveals 10 ways that restaurants are (and should be) using social media.
(Source: Digital Dining . Social restaurant image via Shutterstock.)

Two Peas in a Pod: Thoughts on the Future Regulation of Global Food and Finance

There are two industries that have suffered recent crises of confidence – global food and global finance. In this excerpt of an article in Financial Regulation at the Crossroads, Judson Berkey investigates current challenges and similarities of these two industries.
While not immediately obvious, their stories have parallels: Both industries have moved over recent decades from mainly local and national systems to integrated global systems. They developed long supply chains where the ultimate consumer of risk is often disconnected from the originator. Finally, they are industries where de-regulation has been the trend and the assumption is that the market generally knows best.
As a result, intermediaries (namely banks but also insurers, hedge funds, pension funds, and sovereign wealth funds in the finance industry and the range of food processors, manufacturers, and retailers in the food industry) have grown in size. They are asked to be trusted sources that verify the safety, reliability, and usefulness of products. These intermediaries are often large multinationals operating across countries.
Thus, regulations must be both national and international to ensure a sustainable system. It is said that global banks are national in death. Global food chains also break down nationally as the resulting health and environmental issues must be dealt with by local authorities. The following shows some parallels in regulating the industries and suggests how the local food systems fit into the picture.

Capital and Soil

Capital for finance is like soil for food. Each provides a base from which production grows. Thus, the quantity and quality must be sufficient to deal with natural (economic and weather) cycles. While it can be supplemented for a period from external sources (governments in finance and synthetic fertilizers in food) ultimately it must be a self-sustaining system.
global food and regulation
PHOTO CREDIT: QUAPAN ON FLICKR VIA PHOTOPIN
In the finance industry, the focus is on the quantity and quality of capital as that held by many global banks prior to the onset of the financial crisis was clearly insufficient. The general idea of taking a “risk-based” approach (i.e.tailoring the amount of capital to the nature and extent of the business activities undertaken by a bank) is not seriously at question. The goal is to re-examine the calculation mechanisms to ensure they take proper account of risks and the potential for truly unexpected (“black swan”) outcomes. Particular areas of focus are the measures of portfolio risk and the amount of capital required for activities such a securitization where, in theory, the risk is transferred from a single institution to a broader set of investors. There are also proposals for banks to retain a portion of certain exposures (i.e.“to keep some skin in the game”) to ensure they have incentives to more closely monitor risks.
In the food industry, the parallel may lie in the various regulations and other standards that help govern production processes. Examples include organic regulations and production standards such as integrated pest management or GLOBAL G.A.P. One only needs to look at debates around what “counts” as organic to see the tension between lowering norms to facilitate larger scale production and raising the bar on standards to achieve a certain outcome. Regulatory tools such as HAACP system requirements are intended to ensure a disaggregated production chain (akin to financial securitization) are controlled for health and safety.
Local food systems are well placed here as they often come with an inherent traceability due to the short supply chain. Individual producers selling directly to consumers have an enhanced sense of accountability. They know that the buck stops with them. The higher prices that consumers are often willing to pay enhance their ability to produce sustainably.

Liquidity and Centralization

The ability to centrally manage resource inflows and outflows more efficiently is a presumed benefit of scale. In the case of finance, this is the challenge of liquidity management where banks must match the claims on deposits and other liabilities with returns from their assets and other incoming revenues. A potential parallel in the food industry is the development of Concentrated Animal Feeding Operations (CAFOs) which essentially translate resource inputs (animals) into outputs (processed meat) ideally in a safe and sustainable manner.
In the finance industry, liquidity is under close scrutiny particularly as most global banks sweep funds from any number of jurisdictions and currencies into a central pool and then conduct central treasury operations to better match their funding and payment needs. This is efficient for a single institution as it allows banks to secure funds in the currency or market offering the best terms and then redeploy it where returns are best.
However, the Lehman Brothers and Icelandic bank cases made clear that this does not work well from a systems point of view where obligations are to local citizens and depositors. Ideas being considered by regulators are mechanisms that would ensure global banks hold more local assets that can be used to satisfy their local liabilities. At the extreme, there would a requirement for full local funding of all local activities. This would effectively shift the global banking model closer to something akin to a franchise model in food or a general conglomerate.
In the food industry, the parallel with CAFOs lies with the concentration of the transformation activity into a central operation. This supports a broad network where input providers often are contractors who are given specific production requirements. The outputs are distributed on a wide basis as the scale supports national or international supply chains. This presents problems because of its potential to ignore the holistic context of the value chain much as the central treasury operation of global bank ignores national needs. The challenge becomes how to regulate to ensure negative externalities (e.g.environmental damage or food safety) are limited to an appropriate degree. Forced internalization of negative externalities through payments for local effects (akin to forcing banks to hold some funds to cover local liabilities) may be one mechanism. Enhanced direct oversight of operations (akin to the regulators who sit on-site in financial institutions) may be another.
Local food systems are almost by definition not centralized. There is a very deliberate choice made to limit the scale of production, processing and distribution. This can often provide a greater ability to ensure quality, safety, and taste attributes.
It also may provide a stronger network of producers, processesors, distributors and retailers who known they depend on each other and will work together to ensure a well functioning local system.

Leverage and Waste

Many aspects of finance are decentralized in terms of the number of firms and their global market share. However, global banks are much bigger than before and in some countries such as Switzerland their balance sheets are bigger than the domestic GDP. This creates potential for contagion merely by size or interconnection as denoted by the “too big to fail” label. This is seen in the food industry as well where the WWF estimates that globally 300-500 companies control 70% of the trade in 15 major agricultural commodities.
Scale becomes an issue when combined with leverage. Leverage and the mechanisms such as short term funding used to finance that leverage have been cited as one of the primary causes of the financial crisis. One of the most dangerous aspects of financial leverage is the thin margin for error it creates (e.g.a bank on 40 to 1 leverage will have its equity wiped out with just a 2.5% loss in value of the assets financed by that capital). A somewhat similar dynamic exists in the food industry when looking at the level of food production relative to consumption.
The analogy becomes one between bank balance sheet growth and growth in food production capacity.
Estimates are that as much as 30% (and up to 50% in developed countries) of global food production is lost as waste throughout the system.
This inefficiency means that global food has been “leveraged” to produce many more calories than actually required. In essence, the food system requires extensive input use of scarce resources (land, water, energy) to produce excess food to compensate for the waste that will occur after the food is produced. Thus, the externalities (e.g.environmental damage) arising from food have been scaled beyond that which is actually required. Additionally, hunger does not decrease as it is often the wrong food in the wrong place at the wrong price. Local food systems again stand up well as they generally do not make use of extensive inputs external to the local production system and thus are better sized for their production. They are usually tailored to local diets and local historical and social contexts.

In the end, the customer decides

The shift to a globalized, industrialized economy built on scale in both food and finance has created (theoretical) efficiencies. These efficiencies have allowed economic growth (as measured by GDP with all its inherent flaws) to increase while the percentage of labor in agriculture and manufacturing decreased. However, there are no free lunches and scale came at a price that was often hidden or left to certain jurisdictions to bear. Regulators have tried to strike a balance by establishing global standards through groups such as Codex Alimentarius and the Basel Committee on Banking Supervision that allow regulators to meet to discuss the development of common regulatory norms.
global food
The question many are asking today is whether these institutions and the regulatory norms they have developed are sufficient in light of increasingly globalized markets and the impacts of market failures. Given the apparent ease and pace with which financial markets were on a path to unravel in 2007-9, one can argue that a bit more “sand in the gears” would be a good thing.
One can see this in finance through the call for a transaction tax. In the food industry this can be seen in the precautionary approach (used to justify the EU ban on genetically modified foodor importing hormone treating beef).
Policy differences and their enforcement through different regulations that restrict the amount of globalization permitted may provide useful “breathing space” for the science to become more conclusive (as intended by the precautionary principle) and for consumer values to settle (in cases where the science may be seemingly clear but consumers have certain preferences for other reasons) before truly global market shaping decisions are made. They should not be an excuse for progress however. It is a matter of defining what we mean by progress.
Thus, it is about more than just regulations and policy. If we truly want more local, sustainable, small-scale production it will require higher search costs, higher production costs, higher labor costs and ultimately a higher retail cost. It will shift the composition of employment and rearrange value chains. This is not just a technical debate. Regulations and regulators, corporations and managers, producers and suppliers are tools. The ultimate decision is made by the customer and voting citizens.
The world we live in is shaped by our individual and collective choices and what we choose to value.

* This article is an excerpt of a longer article published in Panagiotis Delimatsis & Nils Herger (eds),Financial Regulation at the Crossroads: Implications for Supervision, Institutional Design and Trade, pp.365–378.2011 Kluwer Law International BV, TheNetherlands.  For the complete article contact the author at judson.berkey[at]ubs[dot]com


Le Store Locator, la killer app du Web marketing ?

Le marketing on-line est un outil puissant pour construire une image de marque, fidéliser, toucher les consommateurs potentiels, et générer des leads.
Les internautes comptent sur le web pour leur fournir toutes les informations dont ils ont besoin, sur le produit qu’ils recherchent.
Le Store Locator est un service dont l’importance est devenue cruciale : dans sa recherche de produit, il faut aussi permettre au consommateur d’accéder au point de vente le plus proche. Et puisque les recherches locales sont effectuées en situation de mobilité... ce service doit être consultable depuis n’importe queldevice.
Le Store Locator est aujourd’hui le meilleur outil pour générer du trafic au sein des points de vente d’une marque ou de son réseau de revendeurs. Il est l’étape essentielle à une démarche de «Local Marketing» et s’inscrit dans les tendances actuelles de consommation.
Il est indispensable de rétablir le lien de proximité entre la marque, son réseau et ses acheteurs. Et par ce biais, lever les ultimes freins à l’achat : répondre aux besoins compulsifs d’achats qui nous poussent tous à vouloir posséder « ici » et « maintenant ». Ainsi, un site de marque qui proposera un renvoi vers ses magasins physiques, verra son taux de conversion augmenter. En effet, les visiteurs qui consulteront les Store Locator des marques sont des prospects à forte intention d’achat.

Conserver l’internaute dans l’univers de la marque

Sur la question du référencement de votre marque sur la toile, la mise en place d’un Store Locator va significativement améliorer les choses. Créer un Store Locator, mini-site en soit, c’est s’autoriser un SEO prédictif : autant de pages magasins de créées et de connexion au produit, sont autant de « chances » d’être visible sur le net et de sortir au plus haut dans les recherches de mots-clefs.
Cet outil permettra d’émerger encore plus, surtout vis-à-vis de la concurrence. Outre le maintien de l’acheteur dans l’univers de la marque recherchée, le Store Locator limite les taux de rebonds possibles liés à cette recherche, et cadre plus les navigations de l’internaute.
Conserver l’internaute dans l’univers de sa marque, et en lui apportant toutes les réponses à ses recherches, c’est aussi lui éviter d’être confronté à la concurrence... Le tunnel de conversion est ainsi réduit. Les besoins d’intégration du Social Media sont également pris en compte : les « share », les « like », les « Pint » s’unifient et multiplient les points de contact Sociaux autour de votre marque. Encore une fois, l’objectif étant de générer du trafic physique qualifié : n’oublions pas que les visiteurs d’un Store Locator sont potentiellement avant tout des prospects…

Outil d’unification de politique commerciale

Autre effet bénéfique de la mise en place d’un Store Locator : la prise en compte probante de son réseau commercial par la marque. C’est démontrer à son réseau que la stratégie d’intégration du physique dans les ambitions e-commerce est sincère. C’est pouvoir orienter et piloter sa stratégie commerciale de bout en bout : valoriser certains réseaux, amplifier la présence de la marque, stimuler le sell-in du réseau et aider les magasins dans leur sell-out.
Ainsi, en une solution, le Store Locator va permettre :
  • de rendre sa marque/des produits encore plus visible sur le net, car leur référencement est ainsi effectif,
  • de mener des actions « push » vers les consommateurs : le produit vient à eux,
  • d’agir sur le volume de vente plus finement (promotion locale / temporelle / nationale),
  • créer des synergies entre les politiques commerciales nationales et les ambitions locales,
  • rassurer les réseaux de franchise,
  • impliquer les revendeurs à la source.
Bref… de dynamiser en un même temps : sa communication, sa stratégie commerciale et son rapport au consommateur.
L’enjeu global de la mise en place d’un tel dispositif dépasse purement la génération de revenus additionnels et complémentaires. Il en va de la marque, de sa relation de confiance et de la fidélisation de ses consommateurs, la connaissance de ses clients, en d’autres termes : son ADN.
Source: Journal du Net (http://goo.gl/wRqQl)