Une question fondamentale pour toute la grande distribution alimentaire, tant l'essor du drive a été spectaculaire ces 3 dernières années.
Evidemment, mécaniquement la réponse est oui puisque rien n'empêche de faire les deux.
De mon côté, j'ai des doutes.
D'abord aprce que toutes les études sur le drive montrent que la motivation n°1 est bien le gain de temps. Donc le fait de ne pas passer en magasins et de gagner du temps est une motivation. Il est donc difficile de faire venir en magasins les afficionados du drive.
Evidemment, mécaniquement la réponse est oui puisque rien n'empêche de faire les deux.
De mon côté, j'ai des doutes.
D'abord aprce que toutes les études sur le drive montrent que la motivation n°1 est bien le gain de temps. Donc le fait de ne pas passer en magasins et de gagner du temps est une motivation. Il est donc difficile de faire venir en magasins les afficionados du drive.
D'autant plus, que selon le cabinet Roland Berger et BVA, 60% des clients convertis au drive déclarent en faire leur magasin principal quand les 40% restants alternent drive et magasin conventionnel.
L'étude Roland Berger/BVA a montré également que les deux circuits sont rarement cumulés dans un même parcours d'achat. Lorsqu'ils passent par un drive , les deux tiers des clients ne s'arrêtent pas dans l'hyper ou le super le plus proche!
L'étude Roland Berger/BVA a montré également que les deux circuits sont rarement cumulés dans un même parcours d'achat. Lorsqu'ils passent par un drive , les deux tiers des clients ne s'arrêtent pas dans l'hyper ou le super le plus proche!
Source: Retail Distribution (http://goo.gl/GI5Li)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire